Réunions improductives, thématiques de groupes de travail dévoilées à la dernière minute, discussions qui s’éternisent, suppression de slides, supports PowerPoint non diffusés……
Si ces situations vous semblent un air de déjà vu, il est peut-être temps que la CNAM passe à un environnement de travail plus moderne avec les syndicats. Une sorte de « new way of work », à condition d’adopter un mode de travail collaboratif.
Pourquoi est-ce indispensable que la CNAM travaille différemment avec les syndicats ?
Depuis le 9 novembre 2022, date de début des négociations conventionnelles, nous avons assisté à un long monologue de la CNAM qui exécute une mission ou un projet sans vraie concertation avec les différents syndicats. Ces derniers découvrent au dernier moment les sujets du jour sans jamais pouvoir s’organiser ou préparer ces réunions. Il apparait impératif, dans un but commun et autour de tâches partagées, d’obtenir suffisamment en amont les supports de travail afin d’avancer « en mode projet ».
Un essor du mode collaboratif serait bénéfique, avec un impact particulièrement positif sur la productivité des échanges, la résolution des problématiques, l’innovation et la créativité.
Voilà autant de raisons d’adopter le travail collaboratif et ses modes de fonctionnement :
- Définir des règles et des objectifs clairs
- Donner du sens et respecter les droits de chacun
- Avoir des réunions plus dynamiques, interactives et productives
- Être tout simplement plus efficace
- Adopter un espace de travail transparent qui permettrait d’apprécier la progression du projet et des discussions.
Comment réinventer la relation avec la CNAM ?
Une révolution : La confiance.
Mettons en place des rapports riches et personnalisés en étant à l’écoute les uns des autres, avec des données accessibles par tous, à tout moment.
Une transformation d’ampleur est donc nécessaire pour avancer en partenaires et non plus en adversaires.