Une Loi Santé passée en force pendant l’état d’urgence… Une ministre de la santé hors-sol « fière de son bilan », n’écoutant pas, voulant imposer le TPG contre l’avis de la profession, pratiquant l’absence de concertation sur les décrets d’application de sa loi.
11 Février
Des Assises de la Médecine Libérale avec tous les syndicats porteurs d’un consensus sur l’avenir des médecins libéraux.
De février à juillet
Un marathon de négociations conventionnelles décevant.
25 Août
Une convention insuffisante, décevante, malgré tout signée à contre-coeur car toujours meilleure qu’un Réglement Arbitral incertain pour les médecins spécialistes.
15 Décembre
Une ROSP médecin traitant de l’enfant sans ambition, non valorisante, témoin des limites de ce genre de rémunération pour les médecins spécialistes en fonction des bases de données de l’Assurance Maladie.
Puis, enfin, entrée du débat sur l’avenir de notre système de santé, certes sur un mode polémique, dans la campagne présidentielle :
- Quel panier de soins ?
- Quelle couverture des soins ?
- Qui assure les soins ?